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Il y a quelques semaines, j’ai déjà écrit un article sur les différentes techniques narratives. Mais, dans un article de blog, je ne peux pas aborder tous les points relatifs à une thématique donnée. C’est la raison pour laquelle j’aborde le même thème de temps à autre, en ajoutant des informations ou un autre point de vue.
La technique narrative principale pour un auteur est d’amener le lecteur à une révélation. Mes articles sur le blog n’ont pas d’autre ambition que de vous aider dans l’écriture de vos histoires, courtes ou longues. Et l’ingrédient principal est de tenir le lecteur en haleine de la première à la dernière page, du premier au dernier mot.
Tout le travail de l’auteur consiste donc à maintenir l’attention du lecteur le plus longtemps possible, en l’envoyant de temps à autre sur de fausses pistes ou en mettant les personnages dans des situations de plus en plus inconfortables. Ce ne sont pas les événements de l’intrigue qui font une histoire, c’est la façon dont ils sont traités. Tout est dit!
Ni magie, ni hasard, juste des techniques
Le processus que j’évoque dans l’introduction de cet article ne se fait ni par magie ni au hasard. Cela ne dépend pas non plus de secrets que les auteurs gardent jalousement pour eux-mêmes. Les meilleurs écrivains utilisent à bon escient certaines techniques de narration pour tenir le lecteur en haleine. Si vous voulez écrire des histoires qui tiennent la route, il est impératif de les maîtriser. Vous n’avez pas d’autre choix pour être lu et vendre vos livres. L’approximation n’est pas de mise.
Une histoire a besoin de 7 éléments pour fonctionner :
- une intrigue
- des personnages
- un point de vue
- un thème
- un décor
- un conflit
- un enjeu et une morale ou un objectif.
S’il manque un de ces éléments, le lecture trouvera sans doute l’histoire fade.
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L’univers narratif des personnages
Si le monde dans lequel baigne l’intrigue est réel et contemporain, l’auteur n’a pas besoin de donner beaucoup d’explications. Plus il est éloigné de notre façon de vivre, plus l’auteur doit nous en décrire les règles. Autrement, le lecteur sera perdu, car il ne peut pas connaître toutes les caractéristiques d’une période donnée. J’aime bien à l’occasion vous donner des exemples pour illustrer les propos. La théorie, c’est bien, mais les exemples, c’est mieux!
Par exemple, les personnages de Harry potter, d’Hermione dans la saga de J.K Rowling, sont au départ élevés chez les Moldus (les non magiciens, les gens normaux en fait, comme vous et moi!) et doivent apprendre, au fil de l’intrigue, les règles correspondantes au monde des magiciens. Et c’est ainsi que l’intrigue peut évoluer et avancer.
Voici un autre exemple avec le roman de Jane Austen, “Orgueil et Préjugés”, qui se situe au tournant du XVIIIe siècle et du XIXe siècle. L’héroïne appartient à une famille de la gentry anglaise campagnarde, soumise aux règles en vigueur de l’époque. Seul un héritier mâle peut hériter de la fortune et de la propriété des Bennet. Les filles n’ont pas d’autre choix que de se marier pour mener une vie digne de ce nom.
Il est évident que les filles à cette époque-là ne peuvent pas travailler ni s’assumer seules. Pour assurer leur avenir, elles n’ont pas d’autre choix que de se marier, et si possible, faire un beau mariage, ce qui n’est pas toujours le cas. Autrement dit, sans les règles de l’univers narratif en question à la période donnée, l’histoire serait nettement moins fascinante. Elle deviendrait simplement une banale histoire d’amour. Or, c’est le décalage par rapport à notre époque qui rend l’histoire fascinante.
Je dois bien avouer que c’est un de mes romans et films préférés, dans la dernière version cinématographique de Joe Wright en 2005 avec Keira Knightley. Pour ma part, j’adore l’accent anglais qu’on peut y entendre et comme cela fait du bien aux oreilles de ne pas entendre de vulgarités!
L’arc narratif
L’arc narratif est tout simplement une intrigue complète. Par exemple, Honoré de Balzac a construit un art narratif complet avec sa saga “La Comédie humaine”. Dans cette saga, les arcs narratifs sont entremêlés. L’auteur mêle des intrigues attachées à des personnages différents. Il peut être très instructif d’étudier l’évolution de l’intrigue au fil des pages que Balzac nous propose.
En fait, l’arc narratif représente l’évolution de l’histoire dans le roman. Il suit les épisodes du schéma narratif classique, que j’ai déjà traité dans un précédent article. Cet arc narratif commence depuis le noeud du récit jusqu’au dénouement final. Il correspond à la colonne vertébrale de l’histoire
Ce concept d’arc narratif a été créé par Gustav Freytag, romancier et dramaturge allemand, qui a analysé de près l’écriture grecque ancienne, ainsi que les pièces en 5 actes de William Shakespeare. Comme le terme le suggère, lorsqu’il est tracé sur du papier, un arc narratif typique prend la forme d’un arc, d’une colline ou d’une pyramide.
Auteur et narrateur
Cette distinction paraît compliquée mais ça ne l’est pas. L’auteur est la personne physique qui écrit le livre. Le narrateur est la personne fictive qui raconte l’histoire. Parfois, le narrateur est tellement discret qu’il se confond avec l’auteur. Mais le narrateur a toujours un point de vue, qui n’est pas forcément celui de l’auteur.
Au XIXe siècle, il était courant d’avoir un narrateur omniscient qui sait tout sur tout, sur ce qui se passe pour n’importe quel personnage ou ce qu’ils pensaient. Reprenons l’exemple du roman “Orgueil et Préjugés” de Jane Austen. Le narrateur connaît sur le bout des doigts les personnages et leur univers.
“C’est une vérité universellement reconnue qu’un célibataire pourvu d’une belle fortune doit avoir envie de se marier, et si peu que l’on sache de son sentiment à cet égard, lorsqu’il arrive dans une nouvelle résidence, cette idée est si bien fixée dans l’esprit de ses voisins qu’ils le considèrent sur le champ comme la propriété légitime de l’une ou l’autre de leurs filles.”
Dans le roman de Pierre Lemaître, “Au-revoir là-haut”, il y a certes un narrateur, mais le lecteur fait face à plusieurs points de vue. Nous savons ce que pensent Albert, Pradelle ou Madeleine. Cela permet d’enrichir la compréhension de chacun des personnages, mais à mon avis, cette technique alourdit l’intrigue malgré tout.
Dans “Game of Thrones”, George R.R Martin adopte le point de vue de plusieurs personnages (et ils sont fort nombreux!) sans jamais ralentir le rythme de l’intrigue, à mon humble avis.
L’intrigue n’est pas l’histoire!
Je sens que là, vous allez penser que j’ai versé dans la provocation. Laissez-moi vous expliquer.
Dans la vie, nous subissons des événements sans aucun lien entre eux, pourrait-on penser, c’est notre histoire. Dans un roman, la succession d’événements est liée par une relation de cause à effets, c’est l’intrigue du roman. Et l’intrigue influence le personnage. Le personnage change…ou pas.
Avant l’intrigue, il y a l’histoire. L’histoire, pour être bien claire, décrit une série d’événements dans l’ordre où ils se produisent. Quant à l’intrigue, c’est aussi une histoire, mais qui se base sur un modèle d’actions et de réactions. Certes, la nuance est subtile, mais importante. J’espère que je ne vous ai pas perdus en cours de route!
Le romancier E.M Forster a expliqué cette différence subtile entre l’intrigue et l’histoire dans son livre “Aspects of the novel”.
E.M Forster – Crédit photo: thefamouspeople.com
“Le Roi est mort et la Reine est morte”. Deux événements, une narration simple : c’est une histoire.
Mais, si vous reliez le premier mouvement (la mort du Roi) au second mouvement (la mort de la Reine) et si vous faites en sorte que la seconde action soit la conséquence de la première, alors vous aurez une intrigue.
“Le Roi est mort alors la Reine est morte de chagrin”. Vous pourriez même y ajouter une touche de suspense : “Lorsque la Reine est morte, personne ne savait pourquoi jusqu’à ce qu’il fut découvert qu’elle était morte de chagrin après la disparition du Roi.“
Ainsi, l’histoire est une chronique d’événements et le lecteur veut entendre ce qu’il se passe ensuite. Il est dans l’attente, ce qui l’incite à tourner les pages pour connaître la suite de l’histoire.
On pourrait alors qualifier l’intrigue de moteur de l’histoire, au même titre que les protagonistes puisque que ce sont les protagonistes qui font avancer l’histoire.
Crédit photo: latanierefr
L’arc transformationnel
Le personnage est différent à la fin de l’aventure de ce qu’il était au début – normalement. Ce peut être un changement positif ou négatif. Par exemple : le personnage de Robin Hobb, créé par l’autrice Margaret Ogden, change de manière drastique dans “Retour au pays“. Présentation de l’éditeur :
” Ce que l’esprit conscient ne perçoit pas, le cœur le sait déjà. Dans un rêve, j’ai traversé comme le vent ce désert des Pluies, en rasant le sol mou, passant au travers des ramures qui se balançaient. Insoucieuse de la fange et de l’eau corrosive, j’ai pu voir soudain la beauté aux multiples strates des alentours. Je me tenais en équilibre, oscillant, comme un oiseau, sur une fronde de fougères. Un esprit du désert des Pluies m’a murmuré : “Essaie de le dominer et il t’engloutira. Incorpore-toi à lui, et tu vivras.”
Extrait de scenamag.fr
Margaret Ogden
Et le style dans tout ça?
Bien évidemment, le style est un élément crucial de tout roman. Rappelez-vous que le style est l’expression personnelle de tout écrivain. Il en existe donc autant que d’écrivains. Et par définition, tous ces styles sont inclassables. Pour ma part, j’apprécie les écritures fluides où les paragraphes s’enchaînent logiquement. J’aime le style assez visuel.
A l’inverse, j’ai du mal avec les récits au style ampoulé. Je préfère réserver cela aux romans dits classiques. Je préfère qu’il y ait une seule idée par paragraphe. Ainsi, dans cette façon d’écrire, chaque phrase sert la narration, est à sa place et ne peut pas être supprimée.
Comment je choisis mes romans à venir? Je lis les premières pages pour savoir si je vais être sensible ou pas au style de l’auteur. Personnellement, une intrigue captivante est loin de me suffire. J’aime que le personnage se transforme de manière positive et que l’écrivain ait abordé l’histoire d’une façon personnelle.
Le fusil de Tchekhov
Les techniques narratives, dont j’ai évoqué certaines d’entre elles dans un précédent article, peuvent vous inspirer dans votre écriture. Le fusil de Tchekhov est un détail insignifiant à première vue, mais qui revêt une importance capitale dans votre histoire. Il doit son nom au dramaturge russe Anton Tchekhov, selon lequel tout détail d’une scène doit avoir son utilité dans l’intrigue : si un détail est inutile, il doit être supprimé.
Prenez l’exemple des verres d’eau dans le film “Signes” : on pourrait croire au début que leur présence révèle un trait de caractère insolite, mais qui pourrait se douter que ce sont eux qui tuent les aliens à la fin du film?
Crédit photo: premiere.fr
Placer un fusil de Tchekhov au début de l’histoire est un bon moyen de s’assurer que la résolution de l’intrigue ne semble pas tomber du ciel. C’est une sorte de présage, qui donne au lecteur des indices subtils sur la suite de l’histoire.
Le cliffhanger (ou climax)
Je suis désolée pour l’anglicisme, mais c’est ce mot qui est utilisé pour qualifier cette technique. Vous la connaissez bien, quand un épisode de votre série préférée se termine sur un suspense insoutenable et que vous devez attendre un certain temps avant de visionner la suite!
Un cliffhanger est une fin non résolue. En arrêtant une histoire au beau milieu d’un événement dramatique, vous donnez envie au lecteur de connaître le dénouement. En captant son attention, vous l’incitez à poursuivre sa lecture. Utilisez le cliffhanger chaque fois que vous voulez créer le suspense. Les cliffhangers peuvent être utilisés à chaque rupture — la fin d’une scène, d’un chapitre, d’un épisode ou d’un livre — pour inviter à lire la suite. Vous pouvez aussi utiliser le cliffhanger à la fin d’une œuvre pour laisser place à l’interprétation, comme dans le film Inception, qui laisse planer le doute : le protagoniste est-il dans un rêve ou dans la réalité ?
Crédit photo: samueldelage.com
Deux Ex Machina
Cette technique d’écriture peut sembler avoir un nom bizarre, mais elle date de l’époque gréco-romaine, d’où son nom latin. C’est un moyen de résoudre une situation dramatique grâce à une force extérieure — un dieu à l’origine — dont l’intervention sauve la situation, le plus souvent désespérée.
Souvent, le deus ex machina est une solution de facilité pour résoudre une situation dans laquelle les personnages sont empêtrés. Pour une narration plus efficace et crédible, ne recourez à cette technique que si c’est la meilleure façon de terminer votre histoire, par exemple pour créer un retournement de situation ou révéler le vrai pouvoir de l’un de vos personnages. Ce ressort doit être surprenant, tout en restant plausible et doit être amené subtilement.
L’une des utilisations les plus controversées de cette technique est celle du “Seigneur des anneaux” de J.R.R Tolkien , quand des aigles venus du ciel volent au secours de Sam et de Frodon, au sommet de la Montagne du Destin.
Crédit photo: static.hitek.fr
Le flashback (ou retour en arrière)
Encore un anglicisme, je n’y peux rien. Le flashback consiste en une interruption du récit dans le but de révéler un événement passé en lien avec l’histoire. Il peut être utilisé pour donner du contexte, expliquer le passé de votre personnage, ou révéler une information au moment opportun. “Slumdog Millionaire“, par exemple, recourt aux flashbacks pour expliquer comment le protagoniste réussit à trouver les réponses aux questions du jeu télévisé.
Le flashback peut s’avérer utile chaque fois que vous souhaitez étayer le passé de votre personnage. C’est une méthode parfaite pour révéler au lecteur une information surprenante au moment opportun.
Le foreshadowing (ou présage)
L’auteur utilise le foreshadowing pour donner des indices subtils sur un événement futur. Ces indices peuvent être flagrants et aider le lecteur à deviner la suite de l’histoire. Mais souvent aussi, ils sont plus subtils (une remarque ou un petit détail) et ne sont accessibles qu’au lecteur attentif. Par exemple, dans “Star Wars : L’Empire contre-attaque“, Luke a une vision dans laquelle il porte le masque de Dark Vador, et ce bien avant de savoir qu’il est le fils de ce dernier.
Le foreshadowing fait monter la tension, tient le lecteur en haleine et rend les retournements de situation plausibles. C’est aussi un moyen amusant d’offrir des indices aux lecteurs les plus attentifs.
In medias res
Si certaines histoires mettent en place un décor ou un contexte avant d’entrer dans le vif du sujet, d’autres au contraire commencent in medias res (locution latine signifiant au « milieu des choses ») : au cœur du sujet ou de l’action. Cette technique de narration non linéaire est un moyen efficace d’accrocher le lecteur dès le début, en l’invitant à se demander comment les personnages en sont arrivés là. Repensez à la scène d’ouverture de “Breaking Bad“, qui présente Walter White en fuite, sans aucune explication. Il faut attendre la suite de l’histoire pour comprendre la raison de sa course éperdue.
La technique In medias res rend le début d’une histoire énergique et captivant. Elle peut être utile si vous souhaitez prouver au lecteur l’intérêt de votre histoire avant l’exposition.
La course contre la montre
Aussi appelée « bombe à retardement », cette technique de narration crée un sentiment d’urgence pour vos personnages. Elle peut prendre la forme d’une vraie bombe à retardement, ou simplement être la conséquence d’une échéance ratée, comme dans “Retour vers le futur“, où Marty doit exécuter une action à minuit précise pour retourner dans le présent, dans son époque.
Cette technique renforce le suspense de votre histoire, en tenant le lecteur en haleine jusqu’à ce que les personnages réussisent à accomplir leur mission. Elle peut aussi être un moyen de donner du rythme grâce à une succession rapide d’événements.
Le hareng rouge
Non, je ne sors pas de chez le poissonnier, je vous rassure. Le hareng rouge est une technique qui consiste à détourner l’attention du lecteur. Elle peut prendre la forme d’un personnage méchant en apparence, qui se révèle gentil par la suite, ou bien il peut s’agir d’un détail important a priori, qui ne débouche finalement sur aucune piste. Par exemple, dans “Harry Potter et le prisonnier d’Azkaban“, le lecteur est invité à penser que Sirius Black est le méchant de l’histoire. Ce n’est qu’à la fin que l’on comprend qu’il a été accusé à tort.
Insérez un hareng rouge si vous voulez que le lecteur reste dans le flou jusqu’à la fin de l’histoire comme dans les romans fantastiques ou les thrillers, ou lorsque vous voulez cacher la vérité à votre lecteur, pour créer un retournement de situation par la suite.
En guise de conclusion
Vous l’aurez compris, il existe différentes techniques narratives. Vous ne les connaissiez pas toutes, c’est normal. Moi non plus avant de faire des recherches pour alimenter mes articles du blog. J’ai finalement réalisé qu’il y avait des éléments qui figuraient dans toutes les oeuvres à la lecture desquelles j’ai pris du plaisir. Et d’autres que j’appréciais, mais jusqu’à une certaine limite.
Les meilleurs écrivains utilisent à bon escient certaines techniques de narration pour tenir le lecteur en haleine. Si vous voulez écrire des histoires qui tiennent la route, il est impératif de les maîtriser. Rien de tel pour les maîtriser que de relire certaines oeuvres classiques et d’étudier certains films ou séries.
Il n’y a pas de meilleure recette pour écrire un roman mémorable que de surprendre le lecteur. Le surprendre avec subtilité et crédibilité. Laisser le roman prendre un tour inattendu plaira au lecteur. La narratologie, ou science de la naration, est la discipline qui étudie les techniques et les structures narratives mises en oeuvre dans les textes littéraires. Je ne suis pas peu fière de me transformer, le temps d’un article, en narratologue!
Mes livres pour vous aider à écrire mieux ou à être bien dans votre peau
Le monde en ce moment est dur et on peut facilement perdre consistance avec toutes le sinjonctions qui viennent de partout.
Pour éviter cela, je mets en pratique mes 10 rituels que vous pouvez retrouver dans mon guide. Ils sont simples mais efficaces. Ils mènent vers une vie saine. Rituels ne signifie habitudes et vie monotone. Loin de là!
Beaucoup d’entre nous prennent des résolutions à chaque rentrée, le but étant de les tenir et d’avancer….Combien d’entre vous y parviennent? C’est toujours la même histoire: vous êtes paré de bonnes intentions … qui ne durent jamais dans le temps!
Le guide que j’ai conçu pour vous va vous aider à tenir vos résolutions. En mettant mes 10 rituels en place, votre vie va changer au quotidien. Vous vous sentirez plus libre, plus efficace, plus organisé.
La situation actuelle vous oblige à évoluer et à avancer. Les plus grands de ce monde ont mis en place leurs rituels pour être les meilleurs.
Et vous? Qu’attendez- vous pour mettre en place mes 10 rituels?
J’ai rassemblé 39 propositions d’écriture que je propose dans l’atelier d’écriture en distanciel que j’ai créé en 2019 sur mon blog LA PLUME DE LAURENCE.
Je donne des conseils et des ouvertures possibles pour chaque proposition d’écriture et j’insère le texte que j’ai écrit pour l’occasion.
Cela afin d’aider celles et ceux qui aiment et veulent écrire, sans pouvoir le faire.
Les formations coûtent cher et on n’a pas forcément d’atelier d’écriture à côté de chez soi.
Or, écrire s’apprend à tout âge. Or, l’inspiration n’est pas divine. On évolue en pratiquant. C’est le but de mon livre.
Libérer son écriture, trouver sa voix et aller au bout de ses projets littéraires.
Je mets mon expérience de bloggeuse et d’auteure au service de celles et ceux qui veulent se lancer, sans trop savoir comment commencer, par quel bout prendre leur récit.
Ecrire redonne un nouveau souffle, permet de se libérer, offre une pause bienfaisante, dans un quotidien qui laisse souvent peu de place à la rêverie.
Ecrire, c’est un espace hors du temps, pour explorer sa propre voie en écriture!