Crédit photo: laparentheseimaginaire.com

Quand on commence à écrire, on est souvent pris d’un doute. Sommes-nous à notre place? Que valons-nous? Qu’est-qui justifie que nous nous mettons à écrire? Ne sommes-nous pas des imposteurs? Que savons-nous des différentes techniques d’écriture? Est-ce que ce n’est pas notre égo qui parle à notre place? Pourquoi écrivons-nous? Est-ce que nous n’écrivons pas du plagiat, vu que tout a déjà été écrit avant nous? Telles sont les questions fréquentes que nous nous posons.

Toutes ces craintes, toutes ces peurs et tous ces doutes sont entièrement légitimes. Il serait même anormal de commencer à écrire sans les avoir pensés un seul jour dans sa tête. Cela dit, toutes ces questions révèlent une méconnaissance profonde du processus créatif, de l’apprentissage des techniques, une méconnaissance de soi et un grand manque de confiance en soi.

Apprendre des techniques, s’entraîner à écrire de courtes histoires, s’exercer à des jeux d’écriture, tout cela ne tuera pas votre processus créatif. C’est tout le contraire même. Vous êtes-vous posé une seule fois cette question: qu’est-ce que la créativité? D’où vient-elle? A quoi vous sert-elle? Et que faire d’elle quand elle se présente à vous? Il est évident qu’il va vous falloir réfléchir à toutes les questions posées, et à d’autres, bien avant d’écrire. Ecrire est un long processus et ne se met pas en place en un claquement de doigts…

Pour écrire cet article, je me base sur un article du blog “Les artisans de la fiction”.

En fiction, la technique consiste en l’ensemble des règles et des lois qui aident un auteur à construire et raconter son récit de la manière la plus intelligble et la plus intéressante possible, de la manière qui séduira les lecteurs. Les techniques de ce qu’on appelle communément “creative writing” (technique pour laquelle j’ai déjà écrit un article dans ce blog), mot inventé par les Anglo-Saxons, n’ont pas été inventées par les scénaristes d’Hollywood ou par les Anglo-Saxons eux-mêmes.

En fait, soyons clairs: ces techniques de fiction n’ont été inventées par personne. Elles ont évolué au fil des siècles. Il est vrai que dans l’Antiquité, Aristote a élevé en règle sacro-sainte sa fameuse formule: une histoire a un début, un milieu et une fin. Personne n’est obligé de construite son intrigue de cette façon. Et dans les séries que l’on peut visionner sur les plateformes de streaming ou dans différents médias, on constate que très souvent les scénaristes ont conçu une autre forme de technique pour commencer leur histoire.

Alors quoi? Les techniques de narration ou de la dramaturgie ont été dégagées, expérimentées, découvertes, élaborées par des auteurs, au fil du temps, qui se sont demandé pourquoi lorsqu’on raconte une histoire de telle ou telle manière, cela crée des images plus fortes ou des sensations plus intenses que quand on ne le fait pas. Ces techniques sont des jalons, des guides, des poteaux indicateurs plutôt que des recettes. Aucune recette toute faite, même si on vous la présente comme telle, ne peut réussir, car il n’existe qu’un maître mot dans l’art d’écrire: l’expérimentation!

Pour arriver à écrire, déjà, il faut oser se lancer et croire en ses possibilités. Ensuite, il faut découvrir, s’amuser avec la langue, analyser et expérimenter les grandes lois de la narration. Je vous rassure: on ne finit pas par écrire toutes et tous la même chose. Il existe une infinité de manières d’utiliser toutes ces règles de narration, une infinité de possibilités de bien les utiliser, ou pas. Cela dépend du contexte, du genre du récit, du type d’histoire, du format, de l’effet que chaque auteur cherche à créer, etc.

Il ne saurait être question dans cet article de vous dresser une liste exhaustive des différentes techniques de narration. Comem j’ai déjà abordé plusieurs fois cette thématique dans mes articles, je ne peux que vous conseiller de vous y référer, puisque tous mes articles sont accessibles sur le blog gratuitement. Pour cela, il vous suffit de taper le mot-clé de votre recherche pour accéder aux articles désirés.

Comprenez bien une chose, le style n’est pas dissocié du reste de l’intrigue. Cela fait partie de l’identité de l’auteur lui-même. Chaque auteur a un style bien à lui identifiable au fil de ses romans. Je persiste aussi à expliquer que le style dépend aussi de l’époque dans laquelle on vit. Nous n’écrivons plus de nos jours comme pouvaient le faire Victor Hugo ou Alexandre Dumas au XIXe siècle. Certains parmi vous peuvent le regretter. Je le comprends, mais c’est ainsi.

Adopter un style ne signifie pas non plus que l’on est original. Un style, certes, est personnel, mais ne rime pas forcément avec originalité. Un auteur doit avoir conscience des techniques d’écriture qu’il utilise. Il doit avoir le recul nécessaire sur ses écrits. Un auteur débutant ne peut pas être cela, et c’est normal. Il faut avoir écrit pour se rendre compte du style qu’on adopte et de la manière que l’on écrit.

Un auteur débutant, en général, maîtrise mal sa stratégire narrative. Il écrit souvent des phrases trop longues, ou utilise trop d’adverbes ou d’adjectifs au style ampoulé. Il peut vouloir étaler ses connaissances en utilisant trop de métaphores alambiquées, voire des mots incompréhensibles du large public. N’est pas Chateaubriand qui veut… Souvent, un auteur débutant veut briller par son style, alors que le seul conseil que je pourrais donner est plutôt de briller avec l’intrigue.

C’est normal, un auteur débutant cherche à impressionner. Cependant, quand on cherche à impressionner, cela se voit comme le nez au milieu de la figure! En conséquence, on n’impressionne personne. Et à part flatter son égo, à quoi cela sert-il? Il faut bien comprendre que le style ne désigne pas uniquement la manipulation ou la maîtrise de la langue française.

Un style, c’est donc un ensemble de choix que l’auteur fait en concience pour construire un univers, une histoire et une narration de manière cohérente. Cela passe à la fois par des choix thématiques, de genre, de structure, de registre de langue, de point de vue…j’arrête là, car la liste peut s’avérer potentiellement interminable.

Contrairement à ce que l’on peut penser, le style n’a pas pour but d’impressionner les lecteurs, ni même d’enjoliver un texte, dans le but de devenir un clone de Victor Hugo. Quand on s’intéresse vraiment au style d’une oeuvre littéraire, on remarque les choix stylistiques que l’auteur a mis en place pour renforcer une ambiance par exemple, pour clarifier son texte ou pour le faire avancer.

En français, par exemple, il peut être difficile de décrire une odeur, rien qu’avec des mots. Les mots manquent souvent, ou quand ils existent, les lecteurs ne les comprennent pas forcément tous. C’est donc là, que la métaphore/comparaison intervient. Mais, ce procédé stylistique intervient au bon moment, et n’est pas là pour combler un vide dans l’intrigue. Ce procédé permet aux lecteurs de mieux se représenter ce que l’auteur tente de lui décrire.

Soyons clairs: le style d’un auteur n’est jamais étouffé par la technique. C’est plutôt le contraire. La technique clarifie le style, le révèle, mais ne le tue pas. Par exemple, quelqu’un qui apprend à danser ne perd pas son style parce qu’il développe sa souplesse ou sa force musculaire… Bien au contraire, c’est parce qu’il maîtrise de plus en plus son corps par la souplesse et la puissance, qu’il peut rendre ses gestes, son style, intelligibles et originaux.

Quand on commence à apprendre les techniques de la narration littéraire, on peut ressentir cette impression de « perdre son style ». C’est juste que l’on découvre des techniques que l’on ignorait jusque là. Ainsi, on perd ses repères, ses réflexes qu’on s’était donnés parfois sans s’en rendre compte. Donc non, vous ne perdez ni votre style, ni votre plume, ni votre génie, ni votre pureté en apprenant à écrire de la fiction et en vous familiarisant avec les règles de la dramaturgie et de la narration. 

On peut donc en conclure que le style et la technique ne s’opposent pas. Il n’y a pas d’un côté la pureté de votre style et votre maginfique imagination et de l’autre « le monstre froid de la technique pure ». Plus vous comprendrez les règles de dramaturgie et de narration, plus vos idées, votre imagination et votre langue vont s’affiner, se diversifier, être maitrisées.

De la même manière, on ne devient jamais un bon auteur de fiction si l’on ne pratique pas et si l’on ne fait que parler de techniques. La technique s’apprend, s’intègre et s’incorpore par la pratique. Et votre façon de pratiquer, c’est votre style ! Dès qu’on travaille un pan des techniques du “creative writing”, on travaille forcément sur son style.

  1. Limiter et hiérarchiser les péripéties. Les auteurs débutants ont la peur récurrente de ne pas réussir à faire passer leur message ou le sens de leur discours dans ce qu’ils écrivent. Ils ont alors tendance à dérouler toutes les actions de manière linéaire et sans hiérarchiser clairement ce qui est essentiel de ce qui est secondaire. Alors, ils créent plutot de la confusion dans l’esprit des lecteurs. Ils expliquent, donnent trop à voir. Ils décrivent même les choses qui se comprennent clairement, alors qu’elles devraient rester sous-entendues. Les lecteurs doivent pouvoir s’imaginer certaines scènes eux-mêmes, sans qu’on leur dise tout. Les ellipses sont importantes et essentielles.

2. Utiliser des verbes riches connotés. Le recours à des verbes connotés, à des verbes forts, va permettre de colorer sa plume. L’auteur la rend plus reconnaissable en variant son vocabulaire. La langue française est riche d’une myriade de verbes qu’il faut utiliser pour pointer les nuances de son action. Attention toutefois à ne pas tomber dans l’exercice de style. Mais votre façon d’écrire sera nettement améliorée si vous vous forcez à sortir de votre liste de vocabulaire habituelle et familière. Ayez toujours à disposition des dictionnaires des synonymes, des antonymes, des mots justes. De ce fait, évitez d’utilsier des verbes faibles comme ‘faire’ par exemple, qu’on emploie à toutes les sauces.

3. Evitez d’utiliser toujours la même construction de phrases. Tous les auteurs ont des automatismes d’écriture. On a tendance à écrire ses phrases de la même façon. C’est naturel et humain. Toutefois, il s’agit d’un point de vigilance à connaître. Il s’agit simplement de varier la construction de vos phrases. Cela apportera du dynamisme à votre texte. Un rythme trop répétitif lassera le lecteur. Cette technique d’écriture s’applique davantage à la correction, le moment où l’on peut prendre le temps de modifier ses phrases pour changer l’attaque, se soucier de leur longueur, etc.

4. Evitez de multiplier les explications. Suggérez plutôt que tout dire. On ne répètera jamais assez cet adage “show, don’t tell”, qui est une technique d’écriture et qui mène à une prose efficace. Plutôt que d’être dans une formulation explicative ou informative, veillez à mettre en scène votre récit et à recourir au dialogue à chaque fois que cela est pertinent. Les explications et descriptions récurrentes mettent le lecteur dans une position passive. Il n’a pas à réfléchir ou à imaginer ce qui se passe, puisque tout lui est dit. Or, ce qui est certain, c’est qu’il va commencer à décrocher du texte. Il faut que le lecteur se questionne sur l’intrigue et sur les personnages, sur le devenir, la nature des personnages et leurs secrets. Il doit avoir envie d’obtenir les réponses à ses questions. Et pour cela, de continuer à lire. Aussi, demandez-vous toujours si vous pouvez faire autrement que de « dire » ou si vous n’avez pas de meilleure alternative.

(traduction des propos de l’image: c’est un ancien propos qui signifie qu’il faut donner aux lecteurs, les actions, les pensées, les sentiments et les émotions des personnages, plutôt que leur donner de simples descriptions. A éviter: “M.Smith était un vieil homme gros et grincheux”. A mettre en place: “M.Smith soulevait son corps lourd de son fauteuil, et tout en essayant d’atteindre sa cane, il grommela: Suzanne! Amenez-vous ici immédiatement”.)

5. Etre précis dans son écriture. De la même façon qu’il faut colorer sa plume avec des verbes connotés, il faut éviter d’être trop neutre dans tout le choix de votre vocabulaire. Il faut laisser une impression positive aux lecteurs. Le texte doit être personnalisé en ayant recours à des termes qui sont précis. A la correction, il importe donc de relever la répétition des mots neutres ou imprécis.

Crédit photo: martouf.ch

6. Créer un ascenseur émotionnel. Un bon roman joue avec les émotions du lecteur. On le fait monter en pression, on culmine, on redescend, on remonte, on culmine, on redescend encore. Bref, on utilise cette technique si populaire dans les séries du moment, le ‘cliffhanger, le climax’. Super, les mots français! Tout ça pour vous dire de travailler avec une grande attention le suspense. Cette ondulation narrative est la base d’un ‘page turner’. Pensez votre récit de manière à ce que votre action s’accélère et se ralentisse plusieurs fois, avec plus ou moins d’intensité. Lisez des livres ou observez attentivement des séries et découvrez les cliffhangers. Prenez des notes, c’est à mes yeux la meilleure école.

7. Donner des failles à ses personnages. Un personnage parfait est un personnage raté. Il faut éradiquer la perfection. Connaissez-vous des êtres humains parfaits? Non, cela me rassure! La perfection n’existe pas chez les humains, et donc, pas chez les personnages non plus. Ou alors, vous avez créé un héros aux pouvoirs surpuissants. Même dans ce cas-là, il a quand même des failles. La technique d’écriture consiste donc à créer des personnages nuancés. Ce sont ses failles qui donnent son intérêt à un personnage. On se fiche de ce qui arrive à quelqu’un de parfait. Ce n’est absolument pas intéressant, ni crédible. Vous devez absolument donner à votre personnage une personnalité avec des contradictions. Un être humain est une somme de contradictions qui changent constamment. Toutes ces failles vous assureront de créer des personnages multidimensionnels, donc crédibles et intéressants.

8. Réduire le nombre de mots. Moins de mots, c’est plus de puissance, donc plus d’émotion pour le lecteur. Il en résultera une intrigue plus dynamique. Les auteurs débutants ont parfois l’illusion que plus on s’épanche en détails, plus le lecteur aura l’impression d’en avoir pour son argent. Or, c’est le contraire qui s’opère. Le travail de l’auteur n’est pas de remplir des pages. Il n’est pas payé au mot. Nous ne sommes plus au XIXe siècle. Le travail d’un auteur consiste à susciter des émotions chez son lecteur. La question à se poser est la suivante : « puis-je l’expliquer de façon plus efficace en moins de mots ? »

Crédit photo: aproposdecriture.com

9. Rendre une scène plus intéressante. La technique d’écriture suivante consiste à vous poser la question suivante, qui vous permettrait de chercher les failles dans votre scène: “qu’est-ce qui rendrait ma scène plus intéressante ?”. Pour y répondre, vous allez chercher l’approximation, le flottement dans votre scène. Pour améliorer votre texte, vous devez le questionner, vous devez creuser toutes les possibilités et tout passer au crible.

10. Vérifier la crédibilité des réaction de son héros. L’amateurisme d’un texte se révèle souvent au travers de personnages qui ne sont pas crédibles. Evitez cette erreur en vous demandant si la réaction de votre personnage est en phase avec ce qui vous avez dit de lui. Posez-vous en permanence cette question: « Dans le contexte de cette scène, avec la personnalité de mon héros, est-ce que j’aurais réagi comme lui ? ». Jouez le rôle de votre héros dans votre tête. Si vous preniez sa place dans cette scène, en ayant sa personnalité et son histoire, est-ce que vous réagiriez de la façon que ous avez décrite ? Cette technique d’écriture est un moyen efficace de valider la crédibilité de la réaction de votre héros, donc la logique de votre scène.

Vous le savez déjà, écrire un roman est une histoire de longue haleine. Alors, imaginez la force nécessaire pour écrire une saga de plusieurs volumes! La première des règles, c ‘est de croire en son travail. Si vous ne croyez pas en vos forces, vous n’irez pas loin. Toutes les excuses derrière lesquelles vous pouvez vous réfugier ne sont que des excuses. Elles confirment plutôt les peurs qui se cachent derrière toutes ces excuses.

Les barrières mentales que vous vous infligez ne vous feront pas avancer et vous empêcheront d’écrire une seule ligne. Vous vous faites des noeuds dans le cerveau, juste à cause de vos peurs. Tout auteur a un jour commencé avec toutes ces peurs ancrées en lui. Soit vous passez à l’action un jour, soit vous restez perclus dans vos peurs et dans vos doutes pour toujours.

La force des articles de mon blog, et sans aucune prétention aucune, c’est de vous pousser dans vos retranchements, de vous donner la confiance en vous dont vous manquez pour passer à l’action, d’écrire enfin ce que vous voulez, sans vous comparer à autrui. Peut-être serez-vous capable d’abattre, en cette année 2024, ces murs qui vous emprisonnent. Je vous le souhaite sincèrement!

’ai décidé de rassembler les textes que j’ai produits dans mon atelier d’écriture, créé en ligne en 2019.

Je donne des conseils pour aborder chaque proposition d’écriture.

Si vous voulez progresser et écrire des textes longs, voire des romans, il faut d’abord commencer par écrire des textes courts.

C’est le but de mes guides “MON ATELIER D’ECRITURE 2019/2020”.

Vous prenez le temps que vous voulez pour écrire sur les trentaines de propositions d’écriture insérées dans chaque guide.

Voilà un chouette cadeau à offrir pour Noël si vous avez une personne dans votre entourage qui aime écrire ou qui veut se lancer dans l’écriture!

Chaque guide est proposé à la vente à moins de 10€ pour la version papier et à moins de 6€ pour la version numérique (ebook).

Vous trouverez mes guides sur toutes les plateformes sur Internet (Amazon, Fnac, Book on Demand) ou vous pouvez aussi les commander chez votre libraire.

Quel bonheur de se retrouver dans son bureau ou dans l’endroit de son choix et de réfléchir à chaque proposition!

Des heures et des heures de plaisir et de bonheur en perspective!

Dans ce guide “MON CALENCRIER D’ECRITURE”, vous trouverez une proposition d’écriture pour chaque jour de l’année!

En vous organisant bien, vous pourrez trouver 10 à 30 minutes dans votre emploi du temps pour écrire quelques lignes.

Chaque proposition est suffisamment courte pour vous permettre d’écrire rapidement. En plus, je joins quelques astuces pour avancer!

Pourquoi pendant votre pause-déjeuner? Pourquoi pas vous lever avant que les enfants déboulent dans la cuisine? Ou dans votre lit avant de vous endormir?

Procurez-vous un cahier qui vous fait envie, un beau stylo et hop! Vous vous lancez sur le merveilleux chemin de l’écriture!

Mon guide est à moins de 20€ pour la vsion papier et à moins de 12€ pour la version numérique. Il m’a demandé un an de travail, alors laissez-vous tenter! Je vous garantis que ça vaut le coup et que vous ne le regretterez pas!

Voici les commentaires reçus sur mon guide:

De Catherine

Je suis en pleine lecture de ton livre qui fourmille de formidables conseils et qui témoigne d’une riche culture. Je suis admirative, vraiment.

De Karine

Je me suis plongée tout de suite dans l’histoire, j’y étais, et j’aime l’avancée. J’aime beaucoup les descriptions, elles sont comme j’aime, simples, précises, évolutives, donc complètes sans être éternelles. L’écriture est facile à lire, ce que j’apprécie, vu mes difficultés. Facile à lire, mais riche, en vocabulaire et en images. J’avais vraiment l’impression des connaître ces femmes et leurs vies. Déjà fini ! Trop court à mon goût, et c’est rare que je sois si emballée dès le premier chapitre. Vivement la suite. Merci !

D’Isabelle

J’aime l’idée, et les personnages, je les trouve attachants.

De Françoise

J’ai téléchargé votre guide écriture à partir de Kindle Amazon. Je suis
dedans ! Très Intéressant, je vais m’en imprégner.

De Cécile

Je viens de lire l’article « lire et écrire donne des ailes » et cela m’a redonné une certaine confiance.
Je suis sur un projet d’écriture qui me tient à coeur mais je procrastine beaucoup et cela me met en colère, oui vraiment.
Je me fixe des objectifs de temps, essaie de m’organiser, me fixe une routine d’écriture,  mais je me laisse polluer par l’extérieur, et me donne des tas de raison de remettre au lendemain , à plus tard… (mais quand?).
Et pourtant quand j’écris, je suis bien, heureuse d’avancer sur un sujet qui m’est  cher (les migrantes avec qui je travaille) et l’envie d’aboutir dans mon projet est très prégnante.
J’ai acheté hier 299 conseils pour mieux écrire : une mine d’or même si certains items me sont familiers mais cela fait du bien de relire ce que l’on sait déjà.
Cela m’a boostée.
Je me suis bien évidemment reconnue dans ce que vous écrivez.
Je vous remercie Laurence.

De Céline

J’ai acheté hier 299 conseils pour mieux écrire : une mine d’or même si certains items me sont familiers mais cela fait du bien de relire ce que l’on sait déjà.

Cela m’a boostée. Je me suis bien évidemment reconnue dans ce que vous écrivez.

Je vous remercie Laurence.

De France

J’ai commencé à lire votre guide d’écriture… j’aime beaucoup votre guide qui donne beaucoup de conseils sur l’écriture … je n’ai pas encore fini le livre car il comporte beaucoup de pages… bravo pour le travail que vous avez fourni.. c’est un vrai plaisir de le lire.

De Jean—Michel

Merci Laurence votre guide est une mine qui réveille les mots enfouis qui fourmillent dans le fond de mes peut-être neurones je creuse vos conseils pas comme un mineur de presque de fond mais comme un lent aéronaute emporté par un ballon de mots que j’espère devenir poétique

De Céline

J’ai trouvé le guide remarquablement complet et bien expliqué.  Je vais m’en servir pour faire des jeux cet été avec les enfants.  Merci infiniment pour ce beau cadeau. 

De Marie—Antoinette

 Puis j’ai acheté votre ouvrage “299 conseils pour mieux écrire” que j’ai fait connaître autour de moi et enfin je me suis inscrite afin de recevoir vos propositions d’écriture.

Je trouve vos deux ouvrages formidables. Ils ciblent très bien les difficultés que rencontrent ceux qui souhaitent se lancer dans l’écriture. Toujours encourageante, toujours positive, c’est un plaisir de vous lire : je prends note de vos conseils. Après… eh bien, on a le talent ou on ne l’a pas. Moi je ne l’ai pas,  mais…..j’ai plaisir malgré tout à écrire des souvenirs, raconter des faits, ou tout simplement transcrire la beauté de la nature et cela me convient.

Un grand merci à vous


Passionnée de lecture et d’écriture, de voyages et d’art, je partage mes conseils sur l’écriture. L'écriture est devenue ma passion: j'écris des livres pratiques et des romans.

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