Nancy Houston est une écrivaine canadienne, d’expression anglaise et française, née en 1953. Elle vit à Paris depuis les années 1970. Quand elle a eu 6 ans, sa mère est partie vivre ailleurs refaire sa vie, sans sa fille et ses deux autres frères et soeurs. Son père part s’installer aux Etats-Unis quand la jeune fille a 15 ans. Elle n’hésite pas à expliquer le rôle que la littérature a joué dans sa vie. Elle l’a sauvée du traumatisme dû à l’abandon de sa mère. Les mots, en effet, l’ont aidée à se nourrir d’imaginaire.
Ce “cadeau en mal” de la vie, comme l’écrivaine se plaît à le raconter, a fait d’elle une écrivaine à succès. Toute petite, elle s’est réfugiée dans la compagnie de ses amis les livres et de leurs personnages. Puis, elle s’est mise à écrire dès son arrivée en France, tout en militant dans les organisations féministes des années 70.
Elle a écrit dans tous les genres: romans, essais, théâtres, récits, nouvelles, pièces de théâtre, scénarios de films et livres pour enfants. Certains ont été primés. Les livres de Nancy Houston expriment avec finesse, l’exil, la famille, le nihilisme, l’identité multiple, et surtout, les liens complexes qui unissent les drames intimes et la grande histoire.
Pour écrire cet article, je me base principalement sur le livre autobiographique de Nancy Houston “Je chemine avec …”, paru aux éditions Seuil en 2021.
Qui est Nancy Houston ?
Nancy Houston est arrivée en France à l’âge de 20 ans. A Paris, elle a travaillé sous la direction de Roland Barthes, à l’Ecole des Hautes Etudes en Sciences Sociales. Elle a participé activement au mouvement d’émancipation des femmes. Sa carrière de romancière a débuté en 1981 avec son roman “Les Variations Goldberg”, qu’elle a écrit en français. En 1985, elle a publié “Histoire d’Omaya”, autour de l’humiliation d’une femme bafouée.
Nancy Houston a vécu une adolescence assez sombre et ses débuts dans l’âge adulte ont été compliqués. Elle était anorexique, suicidaire aussi. S’installer à l’étranger a relevé de l’instinct de survie. Elle a commencé par écrire des poésies à l’âge de 10 ans. Cela lui a fait ressentir la magie de l’écriture et elle a ensuite rédigé ses premiers textes pour des revues liées au mouvement des femmes dans les années 1970-1975.
Nancy Houston est également musicienne: elle joue du piano, du clavecin et de la flûte. Elle dit que la musique est une source d’inspiration pour ses romans. Elle fait d’ailleurs souvent des lectures en musique avec des amis chanteurs ou instrumentalistes. Elle aime beaucoup chanter depuis son enfance.
Son enfance a été chaotique du fait de l’absence de sa mère, de valises et de déménagements. Elle ne voyait sa mère que tous les 2-3 ans, en raison de la distance et du manque de lien. Avec sa vie en France, elle se définit volontiers comme une cowgirl, comme on peut l’être dans sa province natale de l’Alberta au Canada, d’origine berrichonne et irlandaise à la fois. Elle a publié une trentaine de livres en anglais et en français. Elle dit que notre espèce est une espèce fabulatrice.
Crédit photo: radiofrance.fr
Les débuts de l’écriture
Ecrire des romans permet à Nancy Houston de se glisser dans la peau des autres. Elle a commencé ce processus en imaginant la vie de sa mère partie, ce qu’elle faisait et dans quel lieu elle se trouvait. Pour rester en contact avec cette mère lointaine, elle devait lui écrire. Le contact s’est fait surtout avec les mots. Elle essayait, à travers les mots, de rendre sa vie palpitante, pour que cette femme s’intéresse à elle.
Ces échanges épistolaires lui ont permis d’améliorer son expression. Cela s’est transformé en bon exercice littéraire. A cette époque, elle a aussi commencé à vivre avec des personnages dans sa tête, sans faire le lien avec le reste. Elle s’est dédoublée à cause de la culpabilité qu’elle ressentait, à la suite du départ de sa mère. Ces personnages sont devenus ses amis. Sans doute se sentait-elle trop seule. Ces personnages tenaient compagnie à la petite fille qu’elle était. Ils lui parlaient dans sa tête et ce phénomène a toujours fait partie de sa vie.
A cause de ses déménagements successifs, Nancy Houston a toujours été la nouvelle dans ses différentes écoles, celle qui ne connaissait pas son lieu de vie, celle qui devait s’habituer rapidement à d’autres coutumes. Puis, avec son arrivée aux Etats-Unis, elle est devenue l’exilée, et l’étrangère lors de son installation en France. Cela a considérablement marqué le rythme de ses livres. Elle a peiné à trouver sa réelle identité.
La polyphonie de l’écriture de Nancy Houston
La vie qu’elle a menée jeune conditionne la façon dont elle appréhende ses personnages dans ses romans. Elle dit avoir une polyphonie qui se met en place dans sa tête quand elle imagine ses personnages. Elle aime adopter la voix de ses personnages. Cette polyphonie se retrouve aussi dans sa façon de vivre: quand Nancy Houston commence à écrire un nouveau livre, elle change les meubles de place dans son lieu de vie. Les meubles bougent et valsent au gré de la fantaisie de son écriture.
L’écrivaine est obligée d’entendre ses personnages pour les créer, de leur poser des questions, d’explorer leur existence dans sa tête, sinon elle ne peut pas écrire. Elle peut ainsi se mettre dans la tête d’un serial killer pendant plusieurs mois pour les besoins d’un livre. Elle utilise ce processus pour comprendre, et non pas pour se donner des émotions fortes. C’est sa manière à elle de s’identifier à ses personnages principaux.
Pendant son enfance, Nancy Houston ne faisait aucun lien entre les personnages dans sa tête et l’écriture.
Pourquoi Nancy Houston écrit-elle des romans?
Ecrire des romans, selon la romancière franco-canadienne, lui permet de se glisser dans la peau des autres. Elle est désireuse de voir le monde de plusieurs points de vue et de relativiser l’un par l’autre. Un écrivain avance, tantôt avec une facette de sa personne, tantôt avec une autre. Ecrire, c’est un vrai travail d’équipe!
Nancy Houston explique que c’est le mouvement féministe à la fin des années 1960 qui l’a autorisée à écrire. Un auteur appartient à son époque. Elle avait le sentiment d’être embarquée avec d’autres femmes dans une lutte politique, qui lui a permis de libérer sa plume ou, plutôt, son rapport à la plume. Elle a trouvé un bonheur d’écriture totalement inédit.
Après son enfance tourmentée, Nancy houston a eu besoin de retrouver une certaine forme d’innocence pour pouvoir écrire. Elle part du principe qu’un romancier ne sait rien, qu’il doit apprendre et que ses livres doivent avoir une utilité pour le lecteur, lui faire comprendre certaines choses. Elle s’est toujours posée beaucoup de questions, au point que cela l’angoisse. Quand elle est dans cet état, elle sait qu’un roman se prépare en elle.
Dès la première page, dans les romans qu’elle lit ou écrit, un bon roman doit ouvrir son appétit de comprendre et de connaître. Les questions doivent commencer à crépiter dès le début de la lecture ou de l’écriture. Qui est-ce? Pourquoi a-t-il fait cela? Qu’est-ce qu’elle a dit? Etc…
Nancy houston dit souvent qu’écrire, c’est creuser un tunnel à travers l’air. L’air, c’est le langage dont on se sert au jour le jour. Tout le monde parle tout le temps, et par notre choix de vocabulaire et de style, on va se creuser un tunnel à l’intérieur de cet air libre. On invente alors une nouvelle langue au sein de la langue.
Il est évident qu’on ne peut pas écrire un chef-d’oeuvre si on doit lutter pour se nourrir. Si on est enfermé dans les certitudes de sa tribu, de son village ou de sa religion, on n’écrit pas de roman. Le roman naît de la rencontre avec l’autre, qui apporte le doute, l’ironie et l’incertitude.
Nancy Houston écrit parce que c’est tout ce qu’elle a en sa possession en matière de ressort. A la question “Pourquoi écrivez-vous?”, Samuel Beckett répondait “Bon qu’à ça”. Dès qu’elle est privée de son bureau quelques jours, elle en ressent le manque. Elle a besoin d’être en contact avec cette partie d’elle-même. L’intérêt véritable de la littérature est de nous aider à vivre et à comprendre notre vie.
Les techniques pour écrire un roman
Tout ce que l’on peut vivre, les métiers que l’on exerce, les situations dans lesquelles on se trouve, tout cela concourt à l’écriture. Un auteur ne peut pas rester cloisonné dans sa vie, sans s’intéresser à ce qu’il se passe dans le monde ou autour de lui. Nancy Houston s’est intéressée au viol, aux agressions sexuelles, à l’inceste et aux crimes de toutes sortes. Elle intervient régulièrment dans les prisons. Elle discute avec des détenus hommes et femmes, avec des gens qui ont tué, violé, agressé des enfants. Plusieurs de ses livres tournent autour de ces thèmes.
Si on ne croit pas à ses personnages, on ne peut pas écrire de bons romans. Le fait de vivre avec un homme qui avait confiance en elle et qui l’encourageait, l’a aidée à mettre en place les conditions matérielles pour écrire.
Les personnages de roman doivent paraître vivants à tout auteur. Parce que, dans la vraie vie, nous sommes aussi des personnages les uns pour les autres, et même pour nous-mêmes! Dès qu’on rencontre quelqu’un, on commence à le construire comme personnage, dans notre tête – son apparence, sa façon de parler, ce que l’on sait de son passé, son métier, ses valeurs. On extrapole pour façonner une image complète et cohérente de la personne en question. Il en va de même avec les personnages imaginés.
C’est grâce à ce don inné pour transformer les autres en personnages que le miracle romanesque peut se produire: celui de vivre avec des gens imaginaires comme s’ils étaient vivants.
Une journée type de Nancy Houston
Après son petit-déjeuner, Nancy Houston pratique le yoga et joue sur son piano. La musique, pour elle, est un sas entre le langage du quotidien et l’écriture. Cela lui permet de donner au langage une autre fonction. La musique, pour elle, efface en quelque sorte les mots.
Elle se rend ensuite à son bureau, qui ne se trouve pas à son domicile. Elle met son portable sur silencieux. Elle travaille en général jusqu’à 13 heures, puis va déjeuner, pour continuer sa tâche jusqu’à 17 heures ou 18 heures. Elle adore passer la soirée en famille à discuter ou à jouer. Elle essaie de ne pas se coucher trop tard.
Elle ne passe pas tout ce temps à écrire, mais c’est le cadre de sa journée. Elle ne souhaite pas donner d’elle l’image de l’écrivaine bohème qui écrit sur un coin de table au café, car cela ne correspond pas à sa réalité. Elle n’écrit pas dans des cafés. Dans son métier, elle ne sait jamais vraiment quand elle travaille.
Elle observe beaucoup, gamberge, rêvasse aussi. Quand elle écrit, elle écrit à la main et cela peut aller très vite. Elle peut écrire 10 pages en une demi-journée. Elle bosse, comme elle dit, et ce n’est pas amusant. Il faut refaire et refaire encore.
Un métier solitaire
Nancy Houston ne se sent pas seule quand elle écrit, mais habitée. Ecrire est sa façon à elle d’être dans la société, en toute sincérité. C’est le paradoxe de l’écriture: on a besoin d’être égoïste pour arriver à disparaître. L’autrice doit absolument s’effacer afin que ses personnages puissent advenir et vivre.
Il est passionnant d’écrire, parce que, dès les premiers mots tracés sur la page, on se rend compte que c’est autre chose que le flot de la pensée. Ce qui est merveilleux avec les mots écrits, ce sont leurs couleurs, c’est leur précision.
L’acte d’écrire selon Nancy Houston
Nancy Houston écrit parce qu’il y a en elle une voix qui ne veut pas se taire, selon les mots de Sylvie Plath. Le mal-être est l’élément déclencheur de Nancy Houston. Il est importent de rester réaliste : non seulement écrire est fastidieux ou frustrant, mais c’est souvent le contraire d’un plaisir. Quand Nancy a quelque chose à dire, elle ne se sent pas bien.
Pour elle, écrire part toujours d’une sorte de tension ou d’angoisse, souvent accompagnée de symptômes physiques : insomnies, maux de tête, maux de ventre, à chaque fois qu’elle commence à écrire un livre. Nancy écrit de manière organique. Elle adore s’immerger dans le sensoriel, qu’il s’agisse du goût, de l’odeur, du toucher, de la vue ou de l’ouïe.
Les bons moments dans l’acte d’écrire, c’est quand Nancy rêvasse dans son lit la nuit, quand elle imagine une scène ou une page et qu’elle a hâte de l’écrire. A de maintes reprises, elle voulait arrêter d’écrire, car c’était trop dur. Son entourage l’a beaucoup soutenue pour s’y remettre à chaque fois. Une personne qui écrit est dévorée par le doute, à tel point qu’elle a besoin d ‘être encouragée par la curiosité de l’autre, l’intérêt qu’il exprime.
Si on veut écrire, il faut d’abord prendre conscience de la liberté inouïe dont on dispose, puis se donner des consignes pour la restreindre. On ne s’étonne pas assez du fait que l’imagination est un don inné de notre espèce. Tout le monde rêve! Le cerveau est artiste; il s’amuse à créer tout seul, dans le sommeil ou la somnolence, quand nos activités conscientes sont suspendues. Les artistes ne font que rêver de façon un peu plus délibérée et plus conséquente que les autres personnes.
L’écriture est un miracle à la portée de tous. Hélas, nous sommes plus préoccupés par ce qu’il faut voir et lire à chaque minute dans nos petits ordinateurs que sont nos téléphones portables. Nous ne profitons pas assez de ce miracle.
Les conseils d’écriture de Nancy Houston
- Participer à des ateliers d’écriture permet d’évoluer rapidement et d’ouvrir un univers, de réfléchir au style et au choix des mots. Les exercices d’écriture sont passionnants.
- Lire est très important, parce que cela permet de comprendre le monde, les autres, de voyager, en plus d’être un acte écologique et économique, en empruntant les livres dans une médiathèque.
- Il est important d’éviter les clichés, les expressions convenues et les idées reçues, de s’en rendre compte car notre parole personnelle est infestée de tout ça. Cela lasse et fatigue les lecteurs.
- Michel Butel, poète et romancier, a donné à la romancière le conseil suivant: ” Il ne faut jamais écrire un texte que quelqu’un d’autre que toi pourrait écrire”. Ce conseil l’a troublée et a résonné très fort en elle.
- Nancy Houston utilise le dialogue dans ses romans pour faire avancer l’intrigue.
- Ne jamais oublier d’ou on vient, ses origines. La fierté identitaire est la source de beaucoup de belles choses dans la culture humaine – mais est à l’origine de toutes les guerres aussi!
- Il est important de ne pas dramatiser le geste d’écrire, de ne pas le sacraliser. Il convient de le traiter comme un boulot, comme si on allait au bureau.
- Un bon auteur n’inflige pas de leçon de morale à ses lecteurs. Il ne cherche pas à les améliorer. C’est leur chemin à eux qui compte.
- Un lecteur doit sentir une joie verbale. Il n’exige pas un grand style (plutôt fatigant au contraire).
- Un auteur ne doit pas se soucier de s’exprimer. Mais, s’il focalise là-dessus, cela risque de la paralyser.
- Pour écrire, on a besoin de regarder, d’observer. Il est important de comprendre que l’essentiel est ailleurs.
- Les qualités pour devenir un écrivain: l’écoute, l’observation, la suspension du jugement.
- Ne pas devenir mégalomane: si on a du succès, il est important de rester soi-même et ne pas se considérer comme une star.
En guise de conclusion
Nancy Houston espère avoir écrit des livres qui ont pu touché des gens. L’autrice écrit sans se soucier de ce qu’en diront “les faiseurs d’opinion”. Elle s’entraîne tous les jours à reconnaître ce que l’on ne sait pas, à poser des questions, à s’émerveiller devant la complexité confondante du réel.
A un intello de type radin sur le plan humain, elle préfère de loin tenir une conversation avec une personne illettrée, qui lui lance un vrai sourire. Et la cause qu’elle veut défendre est le mot “JUSTICE”. Ce mot parle aussi bien de la violence éducative, mais aussi de la lutte pour préserver la biodiversité sur notre planète si menacée.
Toutes et tous, nous sommes capables de reconnaître des disparités scandaleuses, des dépenses grotesques, des violences physiques ou morales inadmissibles. Aux yeux de Nancy Houston le mot “justice” résume bien tout cela.
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Voici les commentaires reçus sur mon guide:
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Je suis en pleine lecture de ton livre qui fourmille de formidables conseils et qui témoigne d’une riche culture. Je suis admirative, vraiment.
De Karine
Je me suis plongée tout de suite dans l’histoire, j’y étais, et j’aime l’avancée. J’aime beaucoup les descriptions, elles sont comme j’aime, simples, précises, évolutives, donc complètes sans être éternelles. L’écriture est facile à lire, ce que j’apprécie, vu mes difficultés. Facile à lire, mais riche, en vocabulaire et en images. J’avais vraiment l’impression des connaître ces femmes et leurs vies. Déjà fini ! Trop court à mon goût, et c’est rare que je sois si emballée dès le premier chapitre. Vivement la suite. Merci !
D’Isabelle
J’aime l’idée, et les personnages, je les trouve attachants.
De Françoise
J’ai téléchargé votre guide écriture à partir de Kindle Amazon. Je suis
dedans ! Très Intéressant, je vais m’en imprégner.
De Cécile
Je viens de lire l’article « lire et écrire donne des ailes » et cela m’a redonné une certaine confiance.
Je suis sur un projet d’écriture qui me tient à coeur mais je procrastine beaucoup et cela me met en colère, oui vraiment.
Je me fixe des objectifs de temps, essaie de m’organiser, me fixe une routine d’écriture, mais je me laisse polluer par l’extérieur, et me donne des tas de raison de remettre au lendemain , à plus tard… (mais quand?).
Et pourtant quand j’écris, je suis bien, heureuse d’avancer sur un sujet qui m’est cher (les migrantes avec qui je travaille) et l’envie d’aboutir dans mon projet est très prégnante.
J’ai acheté hier 299 conseils pour mieux écrire : une mine d’or même si certains items me sont familiers mais cela fait du bien de relire ce que l’on sait déjà.
Cela m’a boostée.
Je me suis bien évidemment reconnue dans ce que vous écrivez.
Je vous remercie Laurence.
De Céline
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Je vous remercie Laurence.
De France
J’ai commencé à lire votre guide d’écriture… j’aime beaucoup votre guide qui donne beaucoup de conseils sur l’écriture … je n’ai pas encore fini le livre car il comporte beaucoup de pages… bravo pour le travail que vous avez fourni.. c’est un vrai plaisir de le lire.
De Jean—Michel
Merci Laurence votre guide est une mine qui réveille les mots enfouis qui fourmillent dans le fond de mes peut-être neurones je creuse vos conseils pas comme un mineur de presque de fond mais comme un lent aéronaute emporté par un ballon de mots que j’espère devenir poétique
De Céline
J’ai trouvé le guide remarquablement complet et bien expliqué. Je vais m’en servir pour faire des jeux cet été avec les enfants. Merci infiniment pour ce beau cadeau.
De Marie—Antoinette
Puis j’ai acheté votre ouvrage “299 conseils pour mieux écrire” que j’ai fait connaître autour de moi et enfin je me suis inscrite afin de recevoir vos propositions d’écriture.
Je trouve vos deux ouvrages formidables. Ils ciblent très bien les difficultés que rencontrent ceux qui souhaitent se lancer dans l’écriture. Toujours encourageante, toujours positive, c’est un plaisir de vous lire : je prends note de vos conseils. Après… eh bien, on a le talent ou on ne l’a pas. Moi je ne l’ai pas, mais…..j’ai plaisir malgré tout à écrire des souvenirs, raconter des faits, ou tout simplement transcrire la beauté de la nature et cela me convient.
Un grand merci à vous
Et pourquoi pas vous laisser tenter par mon guide sur le bien-être?
Beaucoup d’entre nous prennent des résolutions à chaque rentrée ou en début d’année, le but étant de les tenir et d’avancer….Combien d’entre vous y parviennent? C’est toujours la même histoire: vous êtes paré de bonnes intentions … qui ne durent jamais dans le temps!
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Je vous offre un extrait du rituel N° 1:
Rituel 1 : écrire 3 événements positifs de la journée
Il paraît que 40% de ce que l’on fait est déterminé par des habitudes, et non par des décisions, ni des choix éclairés et conscients.
Ce rituel 1 que je vous propose est à mettre en place le soir, après votre journée. Dans votre lit, ou dans un endroit calme de votre choix, dressez le bilan de votre journée, uniquement d’un point de vue positif en choisissant 3 événements. Cela peut concerner des choses qui peuvent nous paraître insignifiantes, voire modestes, telles qu’écouter un oiseau gazouiller, le bruit du vent dans les feuilles
d’un arbre, un rayon de soleil qui caresse notre joue, le sourire d’un enfant ou d’une personne âgée, boire un café avec un collègue, une anecdote, un détail, une rencontre, une émotion, un bon petit plat, un épisode d’une série, etc.
Pour ce faire, choisissez un joli carnet. Vous inscrivez la date et vous notez ces 3 événements positifs. Cela ne vous prendra pas plus de 10 minutes.
Si vous êtes plutôt branché ordinateur, utilisez un fichier dédié à la pratique pour faire ce travail. Il existe aussi des applications sur votre téléphone portable, Smylife ou The Gratitude Garden, par exemple. Je l’ai testée pendant plusieurs mois et je valide, pour celles et ceux qui ne veulent pas prendre le stylo.
En vous appliquant simplement à identifier 3 choses positives par jour, vous finirez par changer de perspective sur votre vie. Il ne s’agit bien évidemment pas de se forcer de voir « la vie en rose », ni de nier l’existence d’événements négatifs qui peuvent survenir dans la vie de chacun.
L’objectif de cet exercice consiste plutôt à rétablir un équilibre en redonnant au positif la place qui lui revient. Tous les jours, pendant au moins trois semaines, soit 21 jours, mettez par écrit ces 3 choses positives. Pour chaque élément positif, essayez d’en identifier les causes.
Si vous vous contentez simplement de réfléchir à tout cela sans rien consigner, vous n’obtiendrez pas l’effet recherché.